la passerelle de Monplaisir

Approche architecturale

KMK s’inspire et aime révéler l’architecture de nos lieux de vie. Sa démarche est proche de celle d’un projet architectural, sa construction poétique se déroulant en plusieurs phases : habiter un lieu, rencontrer et laisser une trace.

La marche, la danse, la photographie et le dessin sont des outils de captation sensoriels qui permettent à l’équipe artistique de proposer un diagnostic sensible du site. Cette phase d’immersion comprend la rencontre avec l’existant  : contexte, topographie, climat, ambiance, couleurs, matières, habitants, histoires... Cette première esquisse fait apparaître les lignes de force, les dynamiques, les friches et les terrains à bâtir d’un territoire. Par un intérêt partagé par l’urbain et une connivence de regards, la compagnie met en lumière les rencontres formelles improbables et les ambiances étonnantes.

Observant l’aménagement du territoire, KMK débusque des lieux dans lesquels les usages sont inhabituels ou surprenants. La compagnie porte son attention sur ceux qui éprouvent les lieux afin de les mettre en scène à travers des expériences artistiques qui affinent les perceptions du public. KMK laisse ensuite une trace qui peut être une installation, un événement, une collection de cartes ou d’image qui se présente comme un dialogue avec le territoire.